Je suis peintre et psychanalyste, je m'amuse avec les formes et les couleurs, elles s'amusent de moi. A vous de jouer ! La création appartient à celui qui regarde. Je vous invite à visiter les albums successivement présentés, toutes vos réactions sont les bienvenues en utilisant les liens Commentaires.
JOURNAL DU CONFINEMENT – VOYAGE EN TRANSHUMANCES – 2020
16/ Fleur de printemps volé sur le chemin pas pris
17/ L’érosion des mots
18/ Sur un reste de tempête
19/ Des volées d’oiseaux comme passées de nuages
20/ L’ailleurs en dérobade
21/ On se sent étrangement convalescent
22/ Rêves de cabane au fond du lit
23/ Retenir l’éveil du printemps
24/ La parole que de loin
25/ En finir par en revenir
26/ Ne pas en finir de demander la lune
27/ Partir comme devant une feuille blanche
28/ Légèreté semée contre dévastation
29/ Des caresses furieuses à faire plier de vivre
30/ Le temps passager clandestin
31/ La fragilité démesurée du coquelicot
32/ À l’endroit du temps
33/ Désolation du monde de l’enfance
34/ L’existence de l’infini ouvert
35/ Habiter au temps du confinement
36/ Tant de désolation quand la nature rigole
37/ Partir à la lisière des mondes
38/ Un présent habité par les fruits du passé
39/ Cabanes contre placards des grands
40/ La nuit noire de contraintes
41/ Un revenir qui ne sait plus
42/ Que les mots se ruent
43/ Au bout de l’interminable
44/ Damnations à enfouir
45/ Des bordées de questions béantes
46/ Retrouver la ferveur du silence
47/ Que le parc est beau irisé du chant des oiseaux
48/ Temps d’avant temps d’après suspendent
49/ Entre défaillir et tenir d’aplomb
50/ La terre ferme à aborder s’éloigne
51/ Tant qu’il y aura des livres, le temps ne sera pas tué
52/ La marelle à jouer des souvenirs
53/ Sens dessus dessous
54/ Attente inquiète
55/ Écrire depuis là où l’on se sait ne plus être
56/ Au seuil du passage, rester éveillé
2 Responses to JOURNAL DU CONFINEMENT – VOYAGE EN TRANSHUMANCES – 2020
Pendant la transhumance, Alain Domini partage ses journees au milieu de ses brebis, ses chiens et les montagnes. Alain Domini En montagne, meme seul, je ne me sens pas confine. Ca n’a rien avoir avec les gens contraints de vivre dans des espaces minuscules en ville. Il n’y a pas ou peu de compagnie humaine, mais il y a l’espace, les animaux, la nature. J’aime la transhumance, parce que c’est le moment ou l’on travaille avec et non contre la nature, ou on est humble et concentre.
Bonsoir, merci de votre message. Nous avons été très contentes mon amie Valérie l’écrivaine et moi Laure , la peintre de faire ce travail pendant le Confinement 1, et votre commentaire m’a bien plu car il a fait tres beau à Paris pendant ce temps de Confinement et nous avons profité des oiseaux , des fleurs, d’une pelouse en pleine ville….donc avec la nature et aussi, nous avons beaucoup marché et regardé. Temps suspendu pour changer sans doute . Voyons où cela va mener. Cordialement Laure
Pendant la transhumance, Alain Domini partage ses journees au milieu de ses brebis, ses chiens et les montagnes. Alain Domini En montagne, meme seul, je ne me sens pas confine. Ca n’a rien avoir avec les gens contraints de vivre dans des espaces minuscules en ville. Il n’y a pas ou peu de compagnie humaine, mais il y a l’espace, les animaux, la nature. J’aime la transhumance, parce que c’est le moment ou l’on travaille avec et non contre la nature, ou on est humble et concentre.
Bonsoir, merci de votre message. Nous avons été très contentes mon amie Valérie l’écrivaine et moi Laure , la peintre de faire ce travail pendant le Confinement 1, et votre commentaire m’a bien plu car il a fait tres beau à Paris pendant ce temps de Confinement et nous avons profité des oiseaux , des fleurs, d’une pelouse en pleine ville….donc avec la nature et aussi, nous avons beaucoup marché et regardé. Temps suspendu pour changer sans doute . Voyons où cela va mener. Cordialement Laure